Pour augmenter vos chances de trouver un emploi, aussi bien regarder là où il y a une réelle demande de travailleurs. Voici 7 secteurs d’activité où la pénurie de main-d’œuvre est criante.

1. La construction
Le premier ministre Justin Trudeau a promis d’ouvrir les vannes pour financer des projets d’infrastructure. Or, c’est à se demander s’il y aura suffisamment d’électriciens, de charpentiers et de soudeurs pour construire tous ces ponts, routes et bâtiments.

Le rapport Regard prospectif – Construction et maintenance 2014-2023 indique qu’il faudra 300 000 nouveaux travailleurs de la construction au Canada pour combler les départs à la retraite d’ici 2023.

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2. Les transports
Malgré toute la technologie du monde, nous aurons toujours besoin de camionneurs qui sillonnent les routes pour remplir les épiceries d’aliments et les magasins de meubles, de vêtements et d’appareils électroniques.

Pourtant, l’absence de relève est criante dans ce secteur. Au Québec seulement, on aura besoin de 52 000 nouveaux camionneurs d’ici quatre ans pour maintenir le bassin actuel.

Pour un emploi de camionneur, on clique ici.

3. Le secteur manufacturier
Dans le secteur manufacturier, la pénurie de main-d’œuvre est carrément un frein à l’expansion et à la modernisation de plusieurs entreprises québécoises.

Dans un sondage mené par les Manufacturiers et Exportateurs du Québec (MEQ), 52% des dirigeants d’entreprises ont affirmé que le manque de soudeurs, de machinistes, de métallurgistes et d’opérateurs les empêchait d’augmenter leur productivité.

Cliquez ici pour jeter un œil aux emplois manufacturiers.

4. Les TI
Collecte et numérisation des données, déplacement de l’information vers le nuage, intégration de solutions de l’Internet des objets : les chantiers sont nombreux pour les entreprises québécoises qui désirent se mettre à jour technologiquement.

Le problème est le suivant : selon l’organisme TechnoCOMPÉTENCES, il y a près de 6000 postes de spécialistes en TI qui demeurent vacants au Québec chaque année, faute de travailleurs qualifiés.

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5. Les soins infirmiers
Ceux qui ont fréquenté le système de santé savent que les infirmiers et infirmières ne chôment pas : les demandes d’heures supplémentaires y sont monnaie courante.

En 2015, le ministère de la Santé évaluait qu’il manquait 2000 infirmières dans le réseau québécois de la santé. On comprend pourquoi les listes d’attente sont longues!

Cliquez ici pour des emplois d’infirmières et infirmiers.

6. L’agriculture
Peu de jeunes rêvent de devenir agriculteurs. Par conséquent, ce secteur peine à se renouveler. Une étude présentée au Sommet canadien sur la main-d’œuvre agricole et agroalimentaire a démontré que le taux d’emplois agricoles vacants s’élevait à 7%, soit le taux le plus élevé au Canada, toutes industries confondues. (1)

Pour jeter un œil aux emplois en agriculture, c’est ici.

7. La photonique
Dans son rapport de 2016, le Consortium photonique de l’industrie canadienne soulignait ce paradoxe : « Alors que le Canada forme des physiciens de classe mondiale au niveau du doctorat, une pénurie de techniciens et d’ingénieurs d’application entrave la croissance de l’industrie. »

Vivement une main-d’œuvre qualifiée dans ce secteur d’avenir!

Pour un emploi en photonique, cliquez ici.
http://www.workopolis.com/rechercheemploi/emplois-photonique

 

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